La paix et l’avènement de L’ère du tourisme et du commerce allait lui donner un nouvel élan, et la volonté de tracer une « route de prestige » (selon les mots du Préfet de l’époque) dépassant l’Iseran, alors plus haut col routier d’Europe, allait permettre de débloquer les fonds nécessaires pour poursuivre le tracé jusqu’au col et à la Cime de la Bonette (2802m) par l’itinéraire que nous connaissons aujourd’hui.